Je suis une jeune étudiante à La Sorbonne Nouvelle, et j’ai toujours d’été intéressée par donner des cours notamment d’histoire, une science que j’ai toujours apprécié.
Mon expérience scolaire m’a permis de comprendre que la meilleure pédagogie qu’il soit est celle dont l’élève peut trouver son intérêt aussi bien culturel, - forger son bagage culturel-, et intellectuel-, développer son esprit critique,- au sein du cours. Ainsi selon ma méthode, je ne souhaite pas que l’élève dispose du cours seulement comme le moyen de recevoir une note arbitraire par un quelconque professeur. L’histoire est un formidable outil. Les élèves ne sont donc pas au service du cours mais le cours est au service de l’élève , dont la meilleure manière d’apprendre se joue lorsqu’il prend conscience du véritable intérêt de ce dernier dans sa constitution cérébrale et sociale. En effet, quel intérêt de comprendre le siège d’Alesia ? Le conflit israélo-palestinien ? La crise des migrants et les différents conflits qui entourent les nations chinoise et états-unienne ?
Quel rapport peut-il exister entre un film Marvel et l’expension du marché économique chinois ? Entre Marilyn Monroe et la CIA ? Entre des souris et la seconde guerre mondiale ?

L’intérêt est donc de démontrer avant tout que l’histoire est partout autour de nous et de nos enjeux de société, elle nous influence, nous suit et nous dépasse sans doute, mais son universalité nous fait comprendre que ce n’est peut être que par sa maîtrise qu’on pourra parvenir a maîtriser un peu plus notre présent, a l’avenir.